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Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Oui, elle trouve la langue grecque bien plus belle, et la littérature grecque bien plus riche. N'a-t-elle pas manifestement raison?
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Bien évidemment, la langue grecque nous démontre perpétuellement par son immense richesse de vocabulaire sa supériorité sur le piètre lexique latin.
Hectaur_l'Huthar- Interne-externé
- Nombre de messages : 904
Age : 31
Localisation : dans un coin de verdure en plein Paris
Classe : 1ère S1
Date d'inscription : 14/05/2008
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Ou comment flooder encore plus déloyalement qu'en comptant à rebours .... ^^
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Et elles sont où les citations des profs !?
Gare, je vais supprimer...
Gare, je vais supprimer...
£athanel- Doyen
- Nombre de messages : 2727
Age : 31
Localisation : dans la lune...
Classe : D1 informatique
Date d'inscription : 21/08/2007
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Voilà, voilà...
*Gm* (pawaaaa!!)
"Ce mois de mai qui est un peu gruyérisé par les ponts, etc."
"Intelligents comme vous êtes, intelligent comme j'essaie de le rester..."
"una intensidad absolutamente absoluta" (une intensité absolument absolue, pour les non-hispanistes les plus obtus)
"Thomas, où êtes-vous? THOMAAAS !!! Répondez-moi, vous m'angoissez."
"M. Fortier, vos deux pieds sur l'estrade constituent une double offense: d'une part c'est un attentat à fonctionnaire émérite dans l'exercice sublime de ses fonctions (une catégorie administrative moins connue que d'autres); d'autre part, c'est une façon de me rappeler que oui, vous êtes grand. Non, j'ai pas de névrose."
"...sursauter de désir..."
"Vous avez pas vu M. Robert, sinon? Entre Picard surgelés et le Panthéon?"
"C'est là que l'on pourra mesurer votre affection pour moi... J'suis pas du tout dans l'chantage sentimental... du tout du tout..."
"Remarquez que nous avons toujours cours à l'heure des réunions."
"Nous avons la graine de la future époque surréaliste parmi nous! Les talents palpitent!"
La version: "Elle était longue, peut-être" (rentre la tête dans ses épaules et la secoue de gauche à droite d'un air coquinou en fronçant le nez)
"Alors finalement, qui m'a pas rendu la version d'aujourd'hui? C'est pas très grave hein. C'est même un soulagement. Mais... chut."
"Il reste un tout p'tit bout de neurone qui surnage?"
"Quel est le sens de votre question?"
"Je lis dans vos yeux la palpitation de l'intérêt: Mais pourquoi ce subjonctif??"
"Seul votre pif syntaxique peut vous faire renifler à la trace l'[emphase?] de la tournure syntaxique."
"Il faut faire ronronner le jury."
"Vous m'suivez, bien sûr, hein."
"On dirait des chatons qui filent par les portes entr'ouvertes! Eh, miaou, miaou! Non, c'est pas fini!"
"Les principes, en revanche, sont la tête sans anus. Donc y'a rien à expulser. Jusque là c'est éblouissant. Les principes ne vont pas aux toilettes. D'accord? J'sais pas si vous voyez la... la force de..."
"... à vertu caramélisante au niveau de la notation..."
"Pour que les versions n'aient pas l'air longues, je suis obligé de les photocopier de plus en plus petites. C'est un problème."
"Je vais tirer, silence."
"Sept heures moins cinq. Si on arrêtait? Non. On n'arrête pas... Dans quatre-cinq ans mon sadisme sera tout à fait au point..."
"Ici vous avez une petite parenthèse... plus intime, disons."
"Le cul, c'est le cul, rien à faire, hein."
"Nous nous mîmes à repasser notre existence... pour que ça ne fasse plus l'ombre d'un pli, je suppose..."
"Il est sept heures moins deux, et si vous continuez, je dis qu'il est moins cinq."
"On n'a que soi, et par moments, ça ne fait pas grand monde."
"Je citerai M. Gabastou quand il sera d'accord avec moi, pour l'approuver. Et quand nous divergerons, je traiterai sa version par le mépris. C'est une sorte de postulat esthético-scientifique de départ."
"Mettez-vous à la hauteur de l'auteur, si j'ose dire; ne foutez pas en l'air ses effets littéraires."
"Je dis pas que j'me suis trompé hein! Jamais d'la vie!"
"Mais dans quel monde vivez-vous? Un peu de câlins, tout de même."
"M. Gabastou, honorablement reconnu dans la traduction espagnole, juste après Gimié..."
"C'est donc un mot extrêmement casse-pieds que moi j'vous conseille d'abandonner à son triste sort, hein. Un italique et ça suffit."
"C'est là que vos doux instincts câlins se réveillent."
"Vous avez une vision du monde très Bibliothèque rose, moi j'trouve."
"Pour que vous puissiez goûter au plaisir de la substantifique moelle de la traduction..."
""Lèvres princées", ça fait un peu cul de poule, prout prout ma chère..."
""Froncer la bouche". Les khâgneux me l'ont fait aussi hein. Alors je suis allé devant mon miroir, j'ai essayé..."
"Il eût fallu que tu l'eusses conservée! Ah ben écoutez j'sais plus où j'l'ai foutue hein."
"Même surbookés au moment des vacances de Pâques, il doit quand même rester un ou deux neurones en place."
"Là aussi j'ai eu une bagarre sanglante avec les khâgneux."
"Allez-y, c'est à Arcueil. Vous n'avez qu'à suivre le flot des gens angoissés, c'est eux."
"Moi-même, devant mon ordinateur, c'est: "Comment on fait pour arrêter la fumée?""
"Et donc en plus vous êtes des has been, à ce niveau-là."
"Les dinosaures gambadaient devant ma grotte, à l'époque."
"Le cambouis du texte! Mettez-vous en jusque-là!" (se frotte le front)
"Et je prends le temps de ne pas avoir la flemme d[e ne pas] aller jusqu'au bout." (y'a un bug dans sa phrase)
"T'façon j'vois pas comment il pourrait y avoir des crétins à Louis-le-Grand. Sauf peut-être certains profs.... Ça, ça va encore ressortir dans des blogs..."
Voilou! Moi qui croyais n'en avoir que quelques unes, j'en découvre toujours de nouvelles qui m'avaient échappé... Ah, la multiplication des citations, miracle g*miesque...
*Gm* (pawaaaa!!)
"Ce mois de mai qui est un peu gruyérisé par les ponts, etc."
"Intelligents comme vous êtes, intelligent comme j'essaie de le rester..."
"una intensidad absolutamente absoluta" (une intensité absolument absolue, pour les non-hispanistes les plus obtus)
"Thomas, où êtes-vous? THOMAAAS !!! Répondez-moi, vous m'angoissez."
"M. Fortier, vos deux pieds sur l'estrade constituent une double offense: d'une part c'est un attentat à fonctionnaire émérite dans l'exercice sublime de ses fonctions (une catégorie administrative moins connue que d'autres); d'autre part, c'est une façon de me rappeler que oui, vous êtes grand. Non, j'ai pas de névrose."
"...sursauter de désir..."
"Vous avez pas vu M. Robert, sinon? Entre Picard surgelés et le Panthéon?"
"C'est là que l'on pourra mesurer votre affection pour moi... J'suis pas du tout dans l'chantage sentimental... du tout du tout..."
"Remarquez que nous avons toujours cours à l'heure des réunions."
"Nous avons la graine de la future époque surréaliste parmi nous! Les talents palpitent!"
La version: "Elle était longue, peut-être" (rentre la tête dans ses épaules et la secoue de gauche à droite d'un air coquinou en fronçant le nez)
"Alors finalement, qui m'a pas rendu la version d'aujourd'hui? C'est pas très grave hein. C'est même un soulagement. Mais... chut."
"Il reste un tout p'tit bout de neurone qui surnage?"
"Quel est le sens de votre question?"
"Je lis dans vos yeux la palpitation de l'intérêt: Mais pourquoi ce subjonctif??"
"Seul votre pif syntaxique peut vous faire renifler à la trace l'[emphase?] de la tournure syntaxique."
"Il faut faire ronronner le jury."
"Vous m'suivez, bien sûr, hein."
"On dirait des chatons qui filent par les portes entr'ouvertes! Eh, miaou, miaou! Non, c'est pas fini!"
"Les principes, en revanche, sont la tête sans anus. Donc y'a rien à expulser. Jusque là c'est éblouissant. Les principes ne vont pas aux toilettes. D'accord? J'sais pas si vous voyez la... la force de..."
"... à vertu caramélisante au niveau de la notation..."
"Pour que les versions n'aient pas l'air longues, je suis obligé de les photocopier de plus en plus petites. C'est un problème."
"Je vais tirer, silence."
"Sept heures moins cinq. Si on arrêtait? Non. On n'arrête pas... Dans quatre-cinq ans mon sadisme sera tout à fait au point..."
"Ici vous avez une petite parenthèse... plus intime, disons."
"Le cul, c'est le cul, rien à faire, hein."
"Nous nous mîmes à repasser notre existence... pour que ça ne fasse plus l'ombre d'un pli, je suppose..."
"Il est sept heures moins deux, et si vous continuez, je dis qu'il est moins cinq."
"On n'a que soi, et par moments, ça ne fait pas grand monde."
"Je citerai M. Gabastou quand il sera d'accord avec moi, pour l'approuver. Et quand nous divergerons, je traiterai sa version par le mépris. C'est une sorte de postulat esthético-scientifique de départ."
"Mettez-vous à la hauteur de l'auteur, si j'ose dire; ne foutez pas en l'air ses effets littéraires."
"Je dis pas que j'me suis trompé hein! Jamais d'la vie!"
"Mais dans quel monde vivez-vous? Un peu de câlins, tout de même."
"M. Gabastou, honorablement reconnu dans la traduction espagnole, juste après Gimié..."
"C'est donc un mot extrêmement casse-pieds que moi j'vous conseille d'abandonner à son triste sort, hein. Un italique et ça suffit."
"C'est là que vos doux instincts câlins se réveillent."
"Vous avez une vision du monde très Bibliothèque rose, moi j'trouve."
"Pour que vous puissiez goûter au plaisir de la substantifique moelle de la traduction..."
""Lèvres princées", ça fait un peu cul de poule, prout prout ma chère..."
""Froncer la bouche". Les khâgneux me l'ont fait aussi hein. Alors je suis allé devant mon miroir, j'ai essayé..."
"Il eût fallu que tu l'eusses conservée! Ah ben écoutez j'sais plus où j'l'ai foutue hein."
"Même surbookés au moment des vacances de Pâques, il doit quand même rester un ou deux neurones en place."
"Là aussi j'ai eu une bagarre sanglante avec les khâgneux."
"Allez-y, c'est à Arcueil. Vous n'avez qu'à suivre le flot des gens angoissés, c'est eux."
"Moi-même, devant mon ordinateur, c'est: "Comment on fait pour arrêter la fumée?""
"Et donc en plus vous êtes des has been, à ce niveau-là."
"Les dinosaures gambadaient devant ma grotte, à l'époque."
"Le cambouis du texte! Mettez-vous en jusque-là!" (se frotte le front)
"Et je prends le temps de ne pas avoir la flemme d[e ne pas] aller jusqu'au bout." (y'a un bug dans sa phrase)
"T'façon j'vois pas comment il pourrait y avoir des crétins à Louis-le-Grand. Sauf peut-être certains profs.... Ça, ça va encore ressortir dans des blogs..."
Voilou! Moi qui croyais n'en avoir que quelques unes, j'en découvre toujours de nouvelles qui m'avaient échappé... Ah, la multiplication des citations, miracle g*miesque...
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
il en a fait des belles hier itou, mais je n'ai rien note
ah vive mme. lns, le latin c'est le Bien
ah vive mme. lns, le latin c'est le Bien
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Feignasse.Eimear Quinn a écrit:il en a fait des belles hier itou, mais je n'ai rien note
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
oh, pardon, je notais le cours, moiSkywatcheuse a écrit:Feignasse.
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
A vrai dire cette éventualité ne m'avait jamais traversé l'esprit. Je garde tout de même quelques doutes...oh, pardon, je notais le cours, moi
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
pourtant je prends note dans tous mes cours a l'excepte de quelques cours d'anglais (quand on fait les longues disgressions typiques de M. DLVLL) et en espagnol M. GM etant a fond sur moi, je n'ai pas le droit de ne pas prendre en note les cours..Skywatcheuse a écrit:A vrai dire cette éventualité ne m'avait jamais traversé l'esprit. Je garde tout de même quelques doutes...
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Qu'est-ce qu'il fout sur toi?
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Skywatcheuse a écrit:Qu'est-ce qu'il fout sur toi?
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
tsk.. tu sais bien que je ne sache que dans la categorie 15-25 ansSkywatcheuse a écrit:Lapsus révélateur? ;p
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Eimear Quinn a écrit:il ne faut jamais fermer la porte a une nouvelle experience
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
oui, je n'ai jamais ferme les miennes de nouvelles portes ; d'ailleurs qui dit que je ne les ai deja pas toutes enfoncees?
tu demandes a Clara Giacomini elle est au courant
tu demandes a Clara Giacomini elle est au courant
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Eimear Quinn a écrit:d'ailleurs qui dit que je ne les ai deja pas toutes enfoncees?
tu demandes a Clara Giacomini elle est au courant
Tu les as toutes enfoncées? Qui ça? Clara aussi?
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Skywatcheuse a écrit:Tu les as toutes enfoncées? Qui ça? Clara aussi?
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
C*tt*n* à l'honneur:
"Je n'ai jamais rien compris à cette espèce de mythe d'Henri IV, euh, c'est un lycée comme un autre, Henri IV. Ils communiquent très bien, c'est tout."
"La moderne de Fénelon est meilleure que la moderne d'Henri IV... [...] Oui mais c'est pas une question de statistiques, de toute façon elles sont biaisées. Je le sais par expérience."
G*mi*: récapitulation des perles depuis le 1er avril jusqu'à la fin de l'année (la totalité de celles qui précèdent ont été rajoutées dans le premier message de la page 1 et il est impossible d'en caser davantage...)
1er avril:
"... un effet retard qui vous permettait de tester vos aptitudes à la zenitude traductive."
"L'espagnol a une plus grande endurance syntaxique. Le français a peut-être besoin de reprendre un p'tit coup d'oxygène nominal."
"... le fait de retomber sur ses papattes syntaxiques..."
Raillant les traductions trop guindées, il agite les bras en l'air et se balance sur sa chaise: "Et touâââ, que crois-tu? Une bestiole, comme ça... Et touÂÂÂ?? Que crois-tu? Dis-moi ta conviction!! Combien ça peut coûter, uneu-petiteu-bêêêêêêêteu-commeu-çaaa???"
"J'sais pas si y'a une parabole biblique de la multiplication des copies, mais moi j'me sens bien en phase avec le concept."
"Mon naturel profond saurait se mettre en colère pour vous traiter affectueusement mais sincèrement de glandeurs."
"Y'a des blessures philosophiques et des blessures anglicistes qui ne demandent qu'à SAIGNEEEER!!"
"Quels sont les aliénés qui me rendent leur version à temps?"
"C'est curieux, je m'demande si mon texte ne s'est pas bonzaïsé."
"J'en sais encore moins en anglais qu'en latin. Alors n'excipez pas de votre condition d'angliciste, Sacha. C'est extrêmement bas ce que vous venez de faire."
à Martin: "Je vous ai déjà invité à mon hospice devant la compote, hein, pour que vous me distrayiez quand j'aurai 99 ans et que j'aurai encore 15 ans d'espérance de vie..."
"Me faites pas feuler, j'ai les lèvres gercées, ça fait mal."
"Hispaniquissime, ça, y'a rien à faire!"
La version: "Y'a un côté piste de course avec des virages en épingle à cheveux."
"J'avais recorrigé les khâgneux pour les barémiser."
Les affres de la correction de copies: "C'est étonnant que j'aie pas de morceaux de plafond (de mon plafond) accrochés à ma tronche; ou alors de la moquette, parce qu'après je retombe."
"C'est pas les petits bonzaïs, hein, y'a 18 baobabs au mètre carré!"
En extase devant Gabriel Garcia Marquez: "Encore une fois j'ai l'air d'un imbécile heureux."
"...une interrogativo-imprécative, ce qui est une catégorie grammaticale un p'tit peu moins connue que d'autres!"
"Meuh non, c'est ses récriminations à elle! C'est d'une plausibilité psychologico-conjugale totale! Là où la grammaire hésite, la vie, elle, ne se trompe pas! hé hé!"
21 mai:
"Ce mois de mai qui est un peu gruyérisé par les ponts, etc."
"Intelligents comme vous êtes, intelligent comme j'essaie de le rester..."
"una intensidad absolutamente absoluta" (une intensité absolument absolue, pour les non-hispanistes les plus obtus)
"Thomas, où êtes-vous? THOMAAAS !!! Répondez-moi, vous m'angoissez."
"M. Fortier, vos deux pieds sur l'estrade constituent une double offense: d'une part c'est un attentat à fonctionnaire émérite dans l'exercice sublime de ses fonctions (une catégorie administrative moins connue que d'autres); d'autre part, c'est une façon de me rappeler que oui, vous êtes grand. Non, j'ai pas de névrose."
"...sursauter de désir..."
"Vous avez pas vu M. Robert, sinon? Entre Picard surgelés et le Panthéon?"
"C'est là que l'on pourra mesurer votre affection pour moi... J'suis pas du tout dans l'chantage sentimental... du tout du tout..."
"Remarquez que nous avons toujours cours à l'heure des réunions."
"Nous avons la graine de la future époque surréaliste parmi nous! Les talents palpitent!"
La version: "Elle était longue, peut-être" (rentre la tête dans ses épaules et la secoue de gauche à droite d'un air coquinou en fronçant le nez)
"Alors finalement, qui m'a pas rendu la version d'aujourd'hui? C'est pas très grave hein. C'est même un soulagement. Mais... chut."
"Il reste un tout p'tit bout de neurone qui surnage?"
"Quel est le sens de votre question?"
"Je lis dans vos yeux la palpitation de l'intérêt: Mais pourquoi ce subjonctif??"
"Seul votre pif syntaxique peut vous faire renifler à la trace l'[emphase?] de la tournure syntaxique."
"Il faut faire ronronner le jury."
"Vous m'suivez, bien sûr, hein."
"On dirait des chatons qui filent par les portes entr'ouvertes! Eh, miaou, miaou! Non, c'est pas fini!"
"Les principes, en revanche, sont la tête sans anus. Donc y'a rien à expulser. Jusque là c'est éblouissant. Les principes ne vont pas aux toilettes. D'accord? J'sais pas si vous voyez la... la force de..."
"... à vertu caramélisante au niveau de la notation..."
"Pour que les versions n'aient pas l'air longues, je suis obligé de les photocopier de plus en plus petites. C'est un problème."
"Je vais tirer, silence."
"Sept heures moins cinq. Si on arrêtait? Non. On n'arrête pas... Dans quatre-cinq ans mon sadisme sera tout à fait au point..."
"Ici vous avez une petite parenthèse... plus intime, disons."
"Le cul, c'est le cul, rien à faire, hein."
"Nous nous mîmes à repasser notre existence... pour que ça ne fasse plus l'ombre d'un pli, je suppose..."
"Il est sept heures moins deux, et si vous continuez, je dis qu'il est moins cinq."
"On n'a que soi, et par moments, ça ne fait pas grand monde."
"Je citerai M. Gabastou quand il sera d'accord avec moi, pour l'approuver. Et quand nous divergerons, je traiterai sa version par le mépris. C'est une sorte de postulat esthético-scientifique de départ."
"Mettez-vous à la hauteur de l'auteur, si j'ose dire; ne foutez pas en l'air ses effets littéraires."
"Je dis pas que j'me suis trompé hein! Jamais d'la vie!"
"Mais dans quel monde vivez-vous? Un peu de câlins, tout de même."
"M. Gabastou, honorablement reconnu dans la traduction espagnole, juste après Gimié..."
"C'est donc un mot extrêmement casse-pieds que moi j'vous conseille d'abandonner à son triste sort, hein. Un italique et ça suffit."
"C'est là que vos doux instincts câlins se réveillent."
"Vous avez une vision du monde très Bibliothèque rose, moi j'trouve."
"Pour que vous puissiez goûter au plaisir de la substantifique moelle de la traduction..."
""Lèvres princées", ça fait un peu cul de poule, prout prout ma chère..."
""Froncer la bouche". Les khâgneux me l'ont fait aussi hein. Alors je suis allé devant mon miroir, j'ai essayé..."
"Il eût fallu que tu l'eusses conservée! Ah ben écoutez j'sais plus où j'l'ai foutue hein."
"Même surbookés au moment des vacances de Pâques, il doit quand même rester un ou deux neurones en place."
"Là aussi j'ai eu une bagarre sanglante avec les khâgneux."
"Allez-y, c'est à Arcueil. Vous n'avez qu'à suivre le flot des gens angoissés, c'est eux."
"Moi-même, devant mon ordinateur, c'est: "Comment on fait pour arrêter la fumée?""
"Et donc en plus vous êtes des has been, à ce niveau-là."
"Les dinosaures gambadaient devant ma grotte, à l'époque."
"Le cambouis du texte! Mettez-vous en jusque-là!" (se frotte le front)
"Et je prends le temps de ne pas avoir la flemme d[e ne pas] aller jusqu'au bout." (y'a un bug dans sa phrase)
"T'façon j'vois pas comment il pourrait y avoir des crétins à Louis-le-Grand. Sauf peut-être certains profs.... Ça, ça va encore ressortir dans des blogs..."
3 juin:
"J'peux vous poser une question sur le...
-Ah non non. Ecoutez, j'suis professeur. Alors les questions, pas question!"
"REforzar! REforzar! J'le dirai sur mon lit d'mort ça!"
"J'devrais pas dire ça parce que personne ne va le prendre [ce texte, NdSky] et de toute façon si personne ne le prend je l'imposerai."
"OM' BOSSEUH JUSQU'A LA FAING! ... J'aime bien obtenir les choses par la douceur, le dialogue. Ce grand consensus me fait beaucoup plaisir."
"L'amour est aveugle mais les sujets de concours aussi. Ça fait un petit point commun."
"La note qu'on ne peut pas lire rénove beaucoup le concept de note éclairante."
"Arrêtez de jacasser même en silence, je vais pousser le cri qui tue."
"Les oeufs des marteaux-piqueurs ont dû éclore aujourd'hui."
"Si vous commencez à vous matérialiser maintenant sans que les portes s'ouvrent..."
"Un K1 présent, qu'est-ce que ça veut dire? Vous cultivez votre statut de marginal, ou quoi?"
"Ouuuh, attendez! Je me rappelle avoir eu déjà ce petit schéma. C'est-à-dire être furieux et puis comprendre, être furieux et puis comprendre..."
"Mademoiselle Roche, vous avez l'air d'être là aujourd'hui, je vous remercie."
"Il était là aujourd'hui?
-Euh non, et hier non plus.
-Vous en concluez quoi? ... Qu'il n'est pas là; en tout cas il n'était pas là où vous étiez."
"Mademoiselle Vergelatti? [pas sûre de l'orthographe, NdSky] Où est mademoiselle Vergelatti? Alors comme ça vous venez SANS mademoiselle Vergelatti??"
(à ceux qui veulent assister à la conférence d'Yves Bonnefoy à H4) "Et il faut partir à quelle heure? Objectivement? En étant... de bonne foi?"
"J'ai, j'ai pris les textes, mais les mauvais.
-Il n'y a pas de mauvais textes, mon garçon."
"Santa Virgen, Santa Paciencia y todo mi Panteon, y Santo Picard del Surgelé, ayudad me."
C'est tout pour l'année!^^ (du moins pour les cours de version, attendu que je n'assistais pas aux cours de commentaire)
"Je n'ai jamais rien compris à cette espèce de mythe d'Henri IV, euh, c'est un lycée comme un autre, Henri IV. Ils communiquent très bien, c'est tout."
"La moderne de Fénelon est meilleure que la moderne d'Henri IV... [...] Oui mais c'est pas une question de statistiques, de toute façon elles sont biaisées. Je le sais par expérience."
G*mi*: récapitulation des perles depuis le 1er avril jusqu'à la fin de l'année (la totalité de celles qui précèdent ont été rajoutées dans le premier message de la page 1 et il est impossible d'en caser davantage...)
1er avril:
"... un effet retard qui vous permettait de tester vos aptitudes à la zenitude traductive."
"L'espagnol a une plus grande endurance syntaxique. Le français a peut-être besoin de reprendre un p'tit coup d'oxygène nominal."
"... le fait de retomber sur ses papattes syntaxiques..."
Raillant les traductions trop guindées, il agite les bras en l'air et se balance sur sa chaise: "Et touâââ, que crois-tu? Une bestiole, comme ça... Et touÂÂÂ?? Que crois-tu? Dis-moi ta conviction!! Combien ça peut coûter, uneu-petiteu-bêêêêêêêteu-commeu-çaaa???"
"J'sais pas si y'a une parabole biblique de la multiplication des copies, mais moi j'me sens bien en phase avec le concept."
"Mon naturel profond saurait se mettre en colère pour vous traiter affectueusement mais sincèrement de glandeurs."
"Y'a des blessures philosophiques et des blessures anglicistes qui ne demandent qu'à SAIGNEEEER!!"
"Quels sont les aliénés qui me rendent leur version à temps?"
"C'est curieux, je m'demande si mon texte ne s'est pas bonzaïsé."
"J'en sais encore moins en anglais qu'en latin. Alors n'excipez pas de votre condition d'angliciste, Sacha. C'est extrêmement bas ce que vous venez de faire."
à Martin: "Je vous ai déjà invité à mon hospice devant la compote, hein, pour que vous me distrayiez quand j'aurai 99 ans et que j'aurai encore 15 ans d'espérance de vie..."
"Me faites pas feuler, j'ai les lèvres gercées, ça fait mal."
"Hispaniquissime, ça, y'a rien à faire!"
La version: "Y'a un côté piste de course avec des virages en épingle à cheveux."
"J'avais recorrigé les khâgneux pour les barémiser."
Les affres de la correction de copies: "C'est étonnant que j'aie pas de morceaux de plafond (de mon plafond) accrochés à ma tronche; ou alors de la moquette, parce qu'après je retombe."
"C'est pas les petits bonzaïs, hein, y'a 18 baobabs au mètre carré!"
En extase devant Gabriel Garcia Marquez: "Encore une fois j'ai l'air d'un imbécile heureux."
"...une interrogativo-imprécative, ce qui est une catégorie grammaticale un p'tit peu moins connue que d'autres!"
"Meuh non, c'est ses récriminations à elle! C'est d'une plausibilité psychologico-conjugale totale! Là où la grammaire hésite, la vie, elle, ne se trompe pas! hé hé!"
21 mai:
"Ce mois de mai qui est un peu gruyérisé par les ponts, etc."
"Intelligents comme vous êtes, intelligent comme j'essaie de le rester..."
"una intensidad absolutamente absoluta" (une intensité absolument absolue, pour les non-hispanistes les plus obtus)
"Thomas, où êtes-vous? THOMAAAS !!! Répondez-moi, vous m'angoissez."
"M. Fortier, vos deux pieds sur l'estrade constituent une double offense: d'une part c'est un attentat à fonctionnaire émérite dans l'exercice sublime de ses fonctions (une catégorie administrative moins connue que d'autres); d'autre part, c'est une façon de me rappeler que oui, vous êtes grand. Non, j'ai pas de névrose."
"...sursauter de désir..."
"Vous avez pas vu M. Robert, sinon? Entre Picard surgelés et le Panthéon?"
"C'est là que l'on pourra mesurer votre affection pour moi... J'suis pas du tout dans l'chantage sentimental... du tout du tout..."
"Remarquez que nous avons toujours cours à l'heure des réunions."
"Nous avons la graine de la future époque surréaliste parmi nous! Les talents palpitent!"
La version: "Elle était longue, peut-être" (rentre la tête dans ses épaules et la secoue de gauche à droite d'un air coquinou en fronçant le nez)
"Alors finalement, qui m'a pas rendu la version d'aujourd'hui? C'est pas très grave hein. C'est même un soulagement. Mais... chut."
"Il reste un tout p'tit bout de neurone qui surnage?"
"Quel est le sens de votre question?"
"Je lis dans vos yeux la palpitation de l'intérêt: Mais pourquoi ce subjonctif??"
"Seul votre pif syntaxique peut vous faire renifler à la trace l'[emphase?] de la tournure syntaxique."
"Il faut faire ronronner le jury."
"Vous m'suivez, bien sûr, hein."
"On dirait des chatons qui filent par les portes entr'ouvertes! Eh, miaou, miaou! Non, c'est pas fini!"
"Les principes, en revanche, sont la tête sans anus. Donc y'a rien à expulser. Jusque là c'est éblouissant. Les principes ne vont pas aux toilettes. D'accord? J'sais pas si vous voyez la... la force de..."
"... à vertu caramélisante au niveau de la notation..."
"Pour que les versions n'aient pas l'air longues, je suis obligé de les photocopier de plus en plus petites. C'est un problème."
"Je vais tirer, silence."
"Sept heures moins cinq. Si on arrêtait? Non. On n'arrête pas... Dans quatre-cinq ans mon sadisme sera tout à fait au point..."
"Ici vous avez une petite parenthèse... plus intime, disons."
"Le cul, c'est le cul, rien à faire, hein."
"Nous nous mîmes à repasser notre existence... pour que ça ne fasse plus l'ombre d'un pli, je suppose..."
"Il est sept heures moins deux, et si vous continuez, je dis qu'il est moins cinq."
"On n'a que soi, et par moments, ça ne fait pas grand monde."
"Je citerai M. Gabastou quand il sera d'accord avec moi, pour l'approuver. Et quand nous divergerons, je traiterai sa version par le mépris. C'est une sorte de postulat esthético-scientifique de départ."
"Mettez-vous à la hauteur de l'auteur, si j'ose dire; ne foutez pas en l'air ses effets littéraires."
"Je dis pas que j'me suis trompé hein! Jamais d'la vie!"
"Mais dans quel monde vivez-vous? Un peu de câlins, tout de même."
"M. Gabastou, honorablement reconnu dans la traduction espagnole, juste après Gimié..."
"C'est donc un mot extrêmement casse-pieds que moi j'vous conseille d'abandonner à son triste sort, hein. Un italique et ça suffit."
"C'est là que vos doux instincts câlins se réveillent."
"Vous avez une vision du monde très Bibliothèque rose, moi j'trouve."
"Pour que vous puissiez goûter au plaisir de la substantifique moelle de la traduction..."
""Lèvres princées", ça fait un peu cul de poule, prout prout ma chère..."
""Froncer la bouche". Les khâgneux me l'ont fait aussi hein. Alors je suis allé devant mon miroir, j'ai essayé..."
"Il eût fallu que tu l'eusses conservée! Ah ben écoutez j'sais plus où j'l'ai foutue hein."
"Même surbookés au moment des vacances de Pâques, il doit quand même rester un ou deux neurones en place."
"Là aussi j'ai eu une bagarre sanglante avec les khâgneux."
"Allez-y, c'est à Arcueil. Vous n'avez qu'à suivre le flot des gens angoissés, c'est eux."
"Moi-même, devant mon ordinateur, c'est: "Comment on fait pour arrêter la fumée?""
"Et donc en plus vous êtes des has been, à ce niveau-là."
"Les dinosaures gambadaient devant ma grotte, à l'époque."
"Le cambouis du texte! Mettez-vous en jusque-là!" (se frotte le front)
"Et je prends le temps de ne pas avoir la flemme d[e ne pas] aller jusqu'au bout." (y'a un bug dans sa phrase)
"T'façon j'vois pas comment il pourrait y avoir des crétins à Louis-le-Grand. Sauf peut-être certains profs.... Ça, ça va encore ressortir dans des blogs..."
3 juin:
"J'peux vous poser une question sur le...
-Ah non non. Ecoutez, j'suis professeur. Alors les questions, pas question!"
"REforzar! REforzar! J'le dirai sur mon lit d'mort ça!"
"J'devrais pas dire ça parce que personne ne va le prendre [ce texte, NdSky] et de toute façon si personne ne le prend je l'imposerai."
"OM' BOSSEUH JUSQU'A LA FAING! ... J'aime bien obtenir les choses par la douceur, le dialogue. Ce grand consensus me fait beaucoup plaisir."
"L'amour est aveugle mais les sujets de concours aussi. Ça fait un petit point commun."
"La note qu'on ne peut pas lire rénove beaucoup le concept de note éclairante."
"Arrêtez de jacasser même en silence, je vais pousser le cri qui tue."
"Les oeufs des marteaux-piqueurs ont dû éclore aujourd'hui."
"Si vous commencez à vous matérialiser maintenant sans que les portes s'ouvrent..."
"Un K1 présent, qu'est-ce que ça veut dire? Vous cultivez votre statut de marginal, ou quoi?"
"Ouuuh, attendez! Je me rappelle avoir eu déjà ce petit schéma. C'est-à-dire être furieux et puis comprendre, être furieux et puis comprendre..."
"Mademoiselle Roche, vous avez l'air d'être là aujourd'hui, je vous remercie."
"Il était là aujourd'hui?
-Euh non, et hier non plus.
-Vous en concluez quoi? ... Qu'il n'est pas là; en tout cas il n'était pas là où vous étiez."
"Mademoiselle Vergelatti? [pas sûre de l'orthographe, NdSky] Où est mademoiselle Vergelatti? Alors comme ça vous venez SANS mademoiselle Vergelatti??"
(à ceux qui veulent assister à la conférence d'Yves Bonnefoy à H4) "Et il faut partir à quelle heure? Objectivement? En étant... de bonne foi?"
"J'ai, j'ai pris les textes, mais les mauvais.
-Il n'y a pas de mauvais textes, mon garçon."
"Santa Virgen, Santa Paciencia y todo mi Panteon, y Santo Picard del Surgelé, ayudad me."
C'est tout pour l'année!^^ (du moins pour les cours de version, attendu que je n'assistais pas aux cours de commentaire)
Invité- Invité
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
et tu continues cette année?
gab- Interne-externé
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Date d'inscription : 15/10/2007
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Non mais de jeunes hypos tout nouveaux tout neufs peuvent prendre la relèvegab a écrit:et tu continues cette année?
Podrick Payne- Interne-externé
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
... et non encore blasés ni cadavériques, t'as oubliéHugo a écrit:Non mais de jeunes hypos tout nouveaux tout neufs (...)gab a écrit:et tu continues cette année?
J'ai pas noté celles du début d'année, j'ignore si quelqu'un s'en est chargé... Sinon j'en ai une vite fait qui date de vendredi dernier:
(à l'appel un élève ne répond pas, ses camarades nous apprenent qu'il est parti à LA FAC):
"Déjà?! Louis le Grand a fait fort, cette année!
Mais quand même, il aurait pu venir dire au revoir ce garçon, même en une semaine je m'attache, moi; il faut me dire au revoir sur le quai depuis le train."
Bon, c'est pitoyable comme quantité, mais j'essayerai de retenir les prochaines...
Magui gri gri- Emménage
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Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
Hmm j'en ai noté quelques unes mais il faudrait que je retrouve ça dans ma (tonne) de papiers (mal rangés).
Sinon je pense qu'en prenant nos cours de philo au seconde degré y'a matière à remplir beaucoup, beaucoup de pages de ce topic.
Sinon je pense qu'en prenant nos cours de philo au seconde degré y'a matière à remplir beaucoup, beaucoup de pages de ce topic.
Eliane- Prend ses marques
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Citations des profs (et en particulier de monsieur G.)
J'avoue... Mais est-ce que tu arrives ne serait-ce qu'à suivre les cours de philo? Avant de pouvoir les prendre au second degré?Eliane a écrit:
Sinon je pense qu'en prenant nos cours de philo au seconde degré y'a matière à remplir beaucoup, beaucoup de pages de ce topic.
Nan par contre je voulais le signaler parceque j'ai beaucoup ri: ce n'est pas d'un prof mais de notre cher camarade (le masculin suffira à le dévoiler ) en cours d'espagnol, qui voulait traduire un mot qui désignait quelque chose comme "les mauvaises gens", qqchose dans le genre, par "raclure des bas-fond" xD
J'ai trouvé ça très bon, en plus de la "placette" qui faisait "unm petit peu trop plouc?" ^^
Magui gri gri- Emménage
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Podrick Payne- Interne-externé
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