Vos lectures du moment.

Le neveu de Rameau, Diderot
c'est assez sympa pour le moment

gab a écrit:Le neveu de Rameau, Diderot
c'est assez sympa pour le moment

assez? genialissime

j'ai dit "pour le moment", je n'ai pas beaucoup avancé ^^ je t'en reparle plus tard

Les Arrières pensées d'un paresseux de Jérome K. Jérome. C'est assez marrant, et ça se lit facilement.

The Dude a écrit:Les Arrières pensées d'un paresseux de Jérome K. Jérome. C'est assez marrant, et ça se lit facilement.

je ne sais pas du tout ce que c'est, mais le titre te va à merveille :p

gab a écrit:je ne sais pas du tout ce que c'est, mais le titre te va à merveille :p

lol c'était facile. je veux un compte rendu complet sur Diderot

gab a écrit:Le neveu de Rameau, Diderot
c'est assez sympa pour le moment

Moi aussi, je dois lire ça -_- Et laisse-moi te dire, Eimear, que pour le moment...

tu ne sais vraiment pas reconnaitre ce qu'il y a de bien..

Ah si, toi!

c'est bien ce que je dis

L'élitisme républicain, un essai de la République des idées
très intéressant, mais pas fondamentalement différent de ce qui a déjà été dit et redit sur l'école française

Bon, j'ai fini le Neveu de Rameau ( et ce n'est pas follement palpitant ), et j'ai pratiquement fini Si c'est un homme de Primo Levi, que j'apprécie beaucoup. Ces deux chapitres sur l'économie du camp et les élus et les damnés sont très intéressants. Evidemment, cela pose la question du nazisme, mais surtout, cela nous permet de ne pas oublier le crime contre l'humanité, pour rester dans la terminologie officielle, que représenta la Shoah

Ménalque a écrit:Bon, j'ai fini le Neveu de Rameau ( et ce n'est pas follement palpitant ), et j'ai pratiquement fini Si c'est un homme de Primo Levi, que j'apprécie beaucoup. Ces deux chapitres sur l'économie du camp et les élus et les damnés sont très intéressants. Evidemment, cela pose la question du nazisme, mais surtout, cela nous permet de ne pas oublier le crime contre l'humanité, pour rester dans la terminologie officielle, que représenta la Shoah

même si Primo Lévi n'est pas un mauvais auteur, je trouve toujours énormément dommage que tous les jeunes préfèrent toujours toujours toujours les livres du XXe voire XIXe à celles de tous les autres siècles, oubliant que même si les préoccupations n'étaient pas les mêmes, ça reste des oeuvres d'un moderne éblouissant. Je ne vois pas du tout en quoi Lévi pourrait être au dessus de Diderot. Du moins sur les camps je n'ai jamais trouvé que Primo Lévi était le meilleur "auteur" pour parler littérairement, préférant Imre Kertész, Elie Wiesel ou Jorge Semprun et c'est bien sûr sans compter le grand auteur des goulags.

Je ne crois pas que Ménalque ait prétendu que Lévi était supérieur à Diderot (du moins pas ici), et je ne vois pas pourquoi on devrait établir un ordre entre les deux: ce sont deux bons auteurs, avec des styles et des sujets très différents, une comparaison me paraît donc inutile (en termes de "meilleur" ou "moins bon" en tout cas, si tu tiens à en établir une développe un peu plus s'il te plaît).)

Hé, mais je n'ai pas dit qu'il était au-dessus de Diderot ( je viens d'avoir une explication du fatalisme dans Jacques qui m'a séduite ). Donne-nous des auteurs des siècles antérieurs: évidemment, on a toujours les bons vieux livres de l'Antiquité ( le Satiricon, même incomplet, se défend tout à fait ), le XVIIIème siècle ( même si je n'apprécie pas particulièrement ces auteurs ), quelques auteurs du XVIIème et du XVIème ( Rabelais, Du Bellay, Ronsard, Fillon, etc...) et ? ( j'oubliais les théologiens du Moyen-Âge ( St-Augustin... ) )

comment ça "donne nous des auteurs".. ça fait tellement dédaigneux, genre y en a quatre qui se battent en duel et c'est tout? comment tu as osé balayer Diderot, Lesage, Rousseau, Voltaire, Sade, Laclos, Crebillon, Helvetius et plein d'autres en un coup de main "je n'apprécie pas particulièrement ces auteurs" et qui es-tu pour les réduire à néant d'une phrase? c'est pas croyable!!

Sous-entendu: que tu estimes vraiment intéressants à lire.

interrompre un pseudo-débat aussi .. fastidieux? ouii! (tout est tellement subjectif que vos discussions ne peuvent aboutir..O_o)
je lis La condition Humaine, enfin suis en train de relir ce que j'avais déjà lu au début de l'année mais avec, désormais, un plaisir sans bornes_ahhhh ce qu'il écrit bien

gab a écrit:interrompre un pseudo-débat aussi .. fastidieux? ouii! (tout est tellement subjectif que vos discussions ne peuvent aboutir..O_o)
je lis La condition Humaine, enfin suis en train de relir ce que j'avais déjà lu au début de l'année mais avec, désormais, un plaisir sans bornes_ahhhh ce qu'il écrit bien

Si c'est vraiment subjectif, j'estime que j'ai gagné!

La Condition humaine Looooooooooooove

Pas mal en effet. Légèrement déprimant par moments, mais intéressant pour la réflexion.
Et là, je prépare mes concours avec L'Argent de Zola. Très renseigné sur la Bourse, qui n'a visiblement pas tant évolué depuis la fin du XIXe. Avec plein de gros mots : marchés à terme, haussiers, baissiers, tout ça... ET toujours le feu du jeu, de la spéculation, et surtout : la thermodynamique de la Bourse, une énorme machine thermique qui saute de façon cyclique. Ils auraient pu tomber plus mal comme roman pour le thème, avec l'actualité.

Ménalque a écrit:Sous-entendu: que tu estimes vraiment intéressants à lire.

non des classiques reconnus comme tels.
depuis un moment je trouve tes messages bien inférieurs à leur niveau d'antan. Pourquoi?
en tout cas il est pénible de voir que tu penses logique à s'opposer à tout ce que l'on peut dire ici. il y a et il y aura toujours d'extraordinaires auteurs dans tous les siècles de la littérature, des classiques immenses qu'on ne peut hiérarchiser et qui sont dignes d'être lus, si ce n'est que cette lecture est nécessaire. Donc, oui il y a de ces classiques au XIXe et au XXe même si ceux-ci sont moins de MON goût, mais je trouve exécrable ton attitude de dénigrer la grande valeur littéraire d'auteurs plus antérieurs. Ce sera mon dernier mot car je ne vois pas ce qu'on peut redire à cela, à moins d'être un con fini.

et cela n'est pas subjectif du tout et il est temps que certains ici se tapent un peu de la VRAIE philo parce que voir crier partout "tout est subjectif" par des petits ados c'est lassant.

Je suis en train de relire Du côté de chez Swann et j'ai une analyse à faire: le passage de la madeleine...
Est ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ces deux phrases, je ne sais vraiment pas comment les commenter... merci davance

Grave incertitude, toutes les fois que l'esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. II est en face de quelque chose qui n'est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière.


Mais, quand d'un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l'odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l'édifice immense du souvenir.

J'ai fini les Mémoires Capitales de Groucho Marx. C'est rigolo et digne du personnage

lol tu trouves tjrs des trucs droles a lire

Je choisis mes lectures avec soin.

D'ailleurs j'ai fini Red Harvest de Dashiell Hammett, un roman noir dans lequel on retrouve les personnages classiques d'Hammett (le détective - Hammett a travaillé chez Pinkerton -, le géant financier corrompu, etc...)