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Re: Les Drogues et vous ?
Helcaraxan a écrit:
Etant ici plutôt de l'avis de Macht je dois dire que le corps est programmé pour cela et que si "la commande doit être vraiment bien cachée" comme tu le dis, elle permet en revanche de ne pas avoir à subir les effets néfastes éventuels des drogues. D'ailleurs avec une certaine habitude et entrainement cela devient plutôt "facile" d'accèder à ces états au-delà de la conscience et de l'inconscience, il suffit de savoir se contrôler et contrôler son corps jusqu'à dans ses moindres détails.
Une trop grande fatigue et une trop grande faim peuvent être dangereuses, bien que sans effets à long terme je reconnais. Enfin quand même, j'ai du mal à contrôler mon corps pour me plonger dans un tel état, mais si vous y arrivez, ce doit être une expérience intéressante. Cela dit, comme Macht mais dans l'autre sens, je ne connais pas cette sensation mais uniquement celle des drogues donc je ne sais pas si ce sont les mêmes... il nous faudrait un mystique (ou qqun ayant accédé à cette sensation) ayant touché aux drogues pour alimenter le débat
Clakos- A l'aise
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Date d'inscription : 18/11/2007
Re: Les Drogues et vous ?
Clakos a écrit:Helcaraxan a écrit:
Etant ici plutôt de l'avis de Macht je dois dire que le corps est programmé pour cela et que si "la commande doit être vraiment bien cachée" comme tu le dis, elle permet en revanche de ne pas avoir à subir les effets néfastes éventuels des drogues. D'ailleurs avec une certaine habitude et entrainement cela devient plutôt "facile" d'accèder à ces états au-delà de la conscience et de l'inconscience, il suffit de savoir se contrôler et contrôler son corps jusqu'à dans ses moindres détails.
Une trop grande fatigue et une trop grande faim peuvent être dangereuses, bien que sans effets à long terme je reconnais. Enfin quand même, j'ai du mal à contrôler mon corps pour me plonger dans un tel état, mais si vous y arrivez, ce doit être une expérience intéressante. Cela dit, comme Macht mais dans l'autre sens, je ne connais pas cette sensation mais uniquement celle des drogues donc je ne sais pas si ce sont les mêmes... il nous faudrait un mystique (ou qqun ayant accédé à cette sensation) ayant touché aux drogues pour alimenter le débat
J'ai posé la question à une amie à moi qui correspond à ta demande... Elle dit que cela n'a rien à voir, qu'on peut par certains rites corporels (jeûne, veille, gestes répétés...) atteindre un état de transe, mais qu'elle est totalement intellectuelle, méditative, tandis que ce qu'on atteint par les drogues, c'est uniquement une jouissance physique et un bon moment de délire mais cela n'apporte rien sur le plan de la réflexion. Enfin, si j'ai bien compris. De toute façon, je suppose que des avis divergents se trouveront.
Seerose- Squatte la cafet'
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Age : 34
Localisation : On Mars
Classe : ENS :) ex HK1 & K1
Date d'inscription : 02/07/2006
Re: Les Drogues et vous ?
Euh... Pourrais-tu m'expliquer comment tu fais, ou du moins jusqu'à quelle heure il faut tenir pour se trouver dans cet état-là? Avant les vacances j'ai fait de la géo jusqu'à 3h du matin passées et pourtant je ne ressentais aucune espèce d'euphorie... C'était en effet plutôt de l'ordre du cauchemar éveillé, mais sans ombres furtives ni terreur ou tendresse particulière... La géo aurait-elle le pouvoir d'inhiber de tels états, ou dois-je m'en prendre à mes propres insuffisances?Macht a écrit:Je précise: lorsque l'on bosse (ou autre) jusqu'à une heure avancée de la nuit, il arrive que l'esprit et les sens se tendent à un point extrême, on sent tout beaucoup plus fort, des objets normalement anodins prennent des valeurs affectives étranges, se déforment, provoquent terreur, angoisse ou tendresse, on croit voir des ombres, des mouvements furtifs ici et là etc...
A part ça, je pense effectivement que tu as raison de t'abstenir de drogues: tu n'en as vraiment pas besoin...
Invité- Invité
Re: Les Drogues et vous ?
@Clakos: Je ne parlais pour ma part aucunement du jeûne, de la fatigue, ou d'autres privations physiques que l'on imposerait à son corps. Il n'y a pas besoin de faire quoique ce soit à son corps pour accèder à de tels états. Il s'agit plutôt de contraindre son esprit pour le forcer à rentrer en "transe" comme l'appellent certains, ou du moins pour modifier notre perception des choses.
Ce que tu dis, enfin, ce que t'as dit ton amie, concernant les différences de sensations et d'effets entre la "transe" par rites corporels et celle par utilisation de drogues est l'idée que j'avais moi, n'ayant jamais consommé de drogues, de la distinction entre les deux. Je ne peux donc aucunement prétendre qu'une des deux serait mieux que l'autre mais je connais suffisamment le premier pour dire qu'elle procure une très forte sensation de repos et de bien-être à côté d'éventuelles méditations et réflexions. Cela revient au final à aller à l'encontre de son corps et de se mettre à sa place au lieu de vivre en continu par procuration à travers lui sans jamais lui porter la moindre attention consciente.Seerose a écrit:J'ai posé la question à une amie à moi qui correspond à ta demande... Elle dit que cela n'a rien à voir, qu'on peut par certains rites corporels (jeûne, veille, gestes répétés...) atteindre un état de transe, mais qu'elle est totalement intellectuelle, méditative, tandis que ce qu'on atteint par les drogues, c'est uniquement une jouissance physique et un bon moment de délire mais cela n'apporte rien sur le plan de la réflexion. Enfin, si j'ai bien compris. De toute façon, je suppose que des avis divergents se trouveront.
Re: Les Drogues et vous ?
Helcaraxan a écrit:@Clakos: Je ne parlais pour ma part aucunement du jeûne, de la fatigue
Macht en parlait, mais si vous y arrivez sans alors tant mieux
Bon, personnellement, j'ai du mal à m'imaginer entrer dans un état de transe tel qu'on le décrit, alors je vais me contenter du petit joint du week-end et souhaiter que ceux qui atteignent ces 2 sensations de nous fassent part de leur expérience
Clakos- A l'aise
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Age : 32
Date d'inscription : 18/11/2007
Re: Les Drogues et vous ?
Pour répondre à Macht :
Je pense qu'effectivement il y a une possibilité pour le corps d'atteindre des états pratiquement similaires à ceux obtenus par le biais des drogues.
D'ailleurs des expériences comme celles de l'ascèse, ou même de la méditation (active), peuvent conduire à ce genre d'états. En effet, les neurotransmetteurs comme l'endorphine peuvent être produits, conduisant à des phases d'euphorie et de béatitude, ou sérotonine et dopamine, conduisant à ces ouvertures de « portes » - les phases hallucinatoires dont raffolent les récits bibliques et mythologiques.
Un exemple intéressant pour illustrer mon propos est le cas de la Danse du Soleil pratiqué par de nombreux Indiens des Plaines (Sioux, Cheyennes, etc.) et qui consiste en un rite durant lequel le jeune devient homme. Il doit en premier lieu jeûner et méditer, avec pour seule présence celle de ses semblables (ceux qui passent ce rite). Durant cette méditation éprouvante physiquement (faim et fatigue) l'initié rencontre Wakatanka, qu'il est amené à revoir durant la Danse du Soleil proprement dite. En effet, durant la Danse, il est confronté à un effort physique intense et à des douleurs inscrites dans le cadre de la Danse. Durant cette épreuve il verra également Wakatanka, sorte de révélation suprême, et l'on peut penser qu'ici ce sont l'émulation du groupe et le dépassement de limites physiques imposé qui jouent dans les nouvelles perceptions ressenties.
On peut également citer les moments de désinhibition dus aux effets de groupe. En effet, durant un évènement festif d'ampleur ou même lors d'une manifestation ou d'un rassemblement (meeting, etc.) nos comportement sont clairement modifiés et diffèrent par rapport à ceux que l'on peut avoir au quotidien, notamment par l'amplitude qu'ils prennent (les sentiments de joie, de peine, de colère, etc. se voient ainsi décuplés selon le sentiment commun, exprimé par la foule)
On peut donc penser que le corps peut retrouver les mêmes effets que ceux produits par les drogues, seulement avec les drogues, souvent dites « dures » ce qui diffère c'est l'immédiateté et la différence de contexte. Le corps n'est pas poussé à ses plus extrêmes retranchements, même si par la suite cela est le cas. Ce qui joue aussi c'est les moments dans lesquels se déroulent ces prises de produits psychotropes. Dans les évènements festifs illégaux on est souvent dans un environnement où l'excès est la règle (avec ses conséquences parfois négatives) et il y a une réelle volonté de briser les tabous et de se réapproprier son corps, et cela peut passer par la volonté de découvrir de nouvelles expériences (ou de reproduire, de manière toujours différente, des expériences déjà ressenties).
Enfin, ma vision est assez utopiste, puisqu'il est vrai que de nombreuses personnes ne font pas usage de ces drogues dans un but récréatif ou initiatique, et que bien souvent ce voyage constitue pour certains plus une fuite ou un effet de mode qu'autre chose.
C'est d'ailleurs pourquoi je suis pour que l'on accompagne (sans contrainte !) psychologiquement les personnes en faisant usage pour déceler d'éventuels troubles mentaux liés à la personne même et à ces conditions sociales, économiques, ou psychologiques. Ne nous y trompons pas, les gens qui usent de drogues sont aussi des gens paumés, ou des gens qui le font par effet de mode ou par "rebellitude" déplacée.
Je ne blâme donc personne, je déconsidère simplement toute personne qui bénéficiant d'une intégrité physique et psychologique, ayant accès aux informations, s'abstiendrait de récolter celles-ci et jouerait avec sa vie par simple suivisme.
Je suis désolé, mon post est assez décousu, je ne sais pas si j'ai assez clairement répondu (mais n'étant pas sur mon ordi et bénéficiant d'une connexion aléatoire, je suis pressé par les contingences externes)
Je pense qu'effectivement il y a une possibilité pour le corps d'atteindre des états pratiquement similaires à ceux obtenus par le biais des drogues.
D'ailleurs des expériences comme celles de l'ascèse, ou même de la méditation (active), peuvent conduire à ce genre d'états. En effet, les neurotransmetteurs comme l'endorphine peuvent être produits, conduisant à des phases d'euphorie et de béatitude, ou sérotonine et dopamine, conduisant à ces ouvertures de « portes » - les phases hallucinatoires dont raffolent les récits bibliques et mythologiques.
Un exemple intéressant pour illustrer mon propos est le cas de la Danse du Soleil pratiqué par de nombreux Indiens des Plaines (Sioux, Cheyennes, etc.) et qui consiste en un rite durant lequel le jeune devient homme. Il doit en premier lieu jeûner et méditer, avec pour seule présence celle de ses semblables (ceux qui passent ce rite). Durant cette méditation éprouvante physiquement (faim et fatigue) l'initié rencontre Wakatanka, qu'il est amené à revoir durant la Danse du Soleil proprement dite. En effet, durant la Danse, il est confronté à un effort physique intense et à des douleurs inscrites dans le cadre de la Danse. Durant cette épreuve il verra également Wakatanka, sorte de révélation suprême, et l'on peut penser qu'ici ce sont l'émulation du groupe et le dépassement de limites physiques imposé qui jouent dans les nouvelles perceptions ressenties.
On peut également citer les moments de désinhibition dus aux effets de groupe. En effet, durant un évènement festif d'ampleur ou même lors d'une manifestation ou d'un rassemblement (meeting, etc.) nos comportement sont clairement modifiés et diffèrent par rapport à ceux que l'on peut avoir au quotidien, notamment par l'amplitude qu'ils prennent (les sentiments de joie, de peine, de colère, etc. se voient ainsi décuplés selon le sentiment commun, exprimé par la foule)
On peut donc penser que le corps peut retrouver les mêmes effets que ceux produits par les drogues, seulement avec les drogues, souvent dites « dures » ce qui diffère c'est l'immédiateté et la différence de contexte. Le corps n'est pas poussé à ses plus extrêmes retranchements, même si par la suite cela est le cas. Ce qui joue aussi c'est les moments dans lesquels se déroulent ces prises de produits psychotropes. Dans les évènements festifs illégaux on est souvent dans un environnement où l'excès est la règle (avec ses conséquences parfois négatives) et il y a une réelle volonté de briser les tabous et de se réapproprier son corps, et cela peut passer par la volonté de découvrir de nouvelles expériences (ou de reproduire, de manière toujours différente, des expériences déjà ressenties).
Enfin, ma vision est assez utopiste, puisqu'il est vrai que de nombreuses personnes ne font pas usage de ces drogues dans un but récréatif ou initiatique, et que bien souvent ce voyage constitue pour certains plus une fuite ou un effet de mode qu'autre chose.
C'est d'ailleurs pourquoi je suis pour que l'on accompagne (sans contrainte !) psychologiquement les personnes en faisant usage pour déceler d'éventuels troubles mentaux liés à la personne même et à ces conditions sociales, économiques, ou psychologiques. Ne nous y trompons pas, les gens qui usent de drogues sont aussi des gens paumés, ou des gens qui le font par effet de mode ou par "rebellitude" déplacée.
Je ne blâme donc personne, je déconsidère simplement toute personne qui bénéficiant d'une intégrité physique et psychologique, ayant accès aux informations, s'abstiendrait de récolter celles-ci et jouerait avec sa vie par simple suivisme.
Je suis désolé, mon post est assez décousu, je ne sais pas si j'ai assez clairement répondu (mais n'étant pas sur mon ordi et bénéficiant d'une connexion aléatoire, je suis pressé par les contingences externes)
Re: Les Drogues et vous ?
Macht a écrit:merci beaucoup pour toutes vos réponses, elles sont très éclairantes!
De rien,c' est tout naturel
tomartichaut- Emménage
- Nombre de messages : 1072
Age : 31
Localisation : Paris 13eme
Classe : 2 nde 4~~> 1ère S3 ~~> TS 8 ! =D
Date d'inscription : 15/01/2008
Re: Les Drogues et vous ?
tomartichaut a écrit:Macht a écrit:merci beaucoup pour toutes vos réponses, elles sont très éclairantes!
De rien,c' est tout naturel
Et merci pour ta contribution (a)
The Dark Side- Doyen
- Nombre de messages : 2982
Age : 44
Classe : TS6 & Prépa PC LLG => Chimie ENS Ulm => Médecine Paris Descartes
Date d'inscription : 10/10/2007
Re: Les Drogues et vous ?
les deux floodeurs on vous a rien demandé... je vous rappelle que des menaces planent sur vos têtes
... c'était la petite interruption modérateur, je vous laisse continuer (là je m'adresse à ceux qui ont des choses intéressantes à dire, bien sûr)....
... c'était la petite interruption modérateur, je vous laisse continuer (là je m'adresse à ceux qui ont des choses intéressantes à dire, bien sûr)....
Adricles- Interne
- Nombre de messages : 1701
Age : 32
Localisation : Paris
Classe : Vie active (X-Ponts)
Date d'inscription : 02/07/2007
Re: Les Drogues et vous ?
j'ai entendu dire, que le seul geste de fumer (je parle de tabac) est produit par l'effet d'un "manque" (qu'il soit affectif, ou autre)
qu'en pensez-vous? les drogues sont-elles également objet d'un manque non comblé, et encore plus fort?
qu'en pensez-vous? les drogues sont-elles également objet d'un manque non comblé, et encore plus fort?
gab- Interne-externé
- Nombre de messages : 908
Age : 31
Localisation : mes pensées..??
Classe : T°L
Date d'inscription : 15/10/2007
Re: Les Drogues et vous ?
Pour certains oui, la drogue peut-être un refuge (tout comme l'alcoolisme). Pour moi non, c'est juste la recherche d'un état de bien-être.
Clakos- A l'aise
- Nombre de messages : 165
Age : 32
Date d'inscription : 18/11/2007
Re: Les Drogues et vous ?
Les drogues ne sont pas, intrinsèquement parlant, les objets d'un manque non comblé.
Par contre, comme le dit Clakos, elles peuvent constituer un refuge.
En effet, les manques, qu'ils soient d'ordre affectifs, sociaux, ou autres, et la douleur qu'ils provoquent, peuvent trouver leur réponse dans la fuite du réel, ou plutôt l'altération de celui-ci, que constitue la prise de drogues. Mais les psychotropes, par leur nature même, ne sont pas une réponse satisfaisante, le bien-être ne peut réellement survenir que si l'on est soi-même dans une condition de bien-être. Il faut considérer la drogue (et là on pourrait même parler de l'alcool) comme un catalyseur des sentiments et sensations que l'on éprouve au quotidien, ou plutôt comme un super exhausteur du goût de la vie : si celui-ci est bon au moment où l'on déguste, le plaisir n'en est que décuplé, si la saveur de la vie au moment de la 'saler' laisse à désirer, le résultat risque d'être encore plus catastrophique.
Donc, non, la prise de drogue ne constitue pas forcément le signe d'un manque à combler - même si l'on pourrait dire que l'homme manque perpétuellement de quelque chose - et ne doit pas forcément être analysée comme telle, même si la question peut se poser pour certains personnes en difficulté - auquel cas cette analyse doit servir à leur aide et non à leur exclusion.
Par contre, comme le dit Clakos, elles peuvent constituer un refuge.
En effet, les manques, qu'ils soient d'ordre affectifs, sociaux, ou autres, et la douleur qu'ils provoquent, peuvent trouver leur réponse dans la fuite du réel, ou plutôt l'altération de celui-ci, que constitue la prise de drogues. Mais les psychotropes, par leur nature même, ne sont pas une réponse satisfaisante, le bien-être ne peut réellement survenir que si l'on est soi-même dans une condition de bien-être. Il faut considérer la drogue (et là on pourrait même parler de l'alcool) comme un catalyseur des sentiments et sensations que l'on éprouve au quotidien, ou plutôt comme un super exhausteur du goût de la vie : si celui-ci est bon au moment où l'on déguste, le plaisir n'en est que décuplé, si la saveur de la vie au moment de la 'saler' laisse à désirer, le résultat risque d'être encore plus catastrophique.
Donc, non, la prise de drogue ne constitue pas forcément le signe d'un manque à combler - même si l'on pourrait dire que l'homme manque perpétuellement de quelque chose - et ne doit pas forcément être analysée comme telle, même si la question peut se poser pour certains personnes en difficulté - auquel cas cette analyse doit servir à leur aide et non à leur exclusion.
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